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Course à la chefferie du PQ : Le bon choix s'impose...

 

Nous, membres du Parti Québecois  choisissons notre chef. Ce qui nous unit, c’est la souveraineté. Certains sont pressés, d’autres moins. Certains sont de droite, d’autres de Gauche ou du Centre mais nous sommes tous sans exception, souverainistes.

Telechargement 4Paul St-Pierre Plamondon promet qu’il y aura un référendum si au moins 20 % de la population le demande et si 45 % le veut. Martine Ouellet promet un référendum dans le premier mandat d'un gouvernement péquiste. Alexandre Cloutier attendra d'être prêt avant de promettre un référendum. Véronique Hivon proposait de faire la promotion de l'indépendance avant de faire un référendum. Jean-François Lisée propose : pas de référendum au premier mandat mais un, au deuxième. C’est là-dessus que se joue la course à la chefferie.

Rappelez-vous lors de la dernière élection provinciale, les sondages qui étaient précis, indiquaient le PQ faiblement en avance jusqu'à ce qu'il soit question de référendum. Alors, le PQ a baissé et obtenu son plus bas score depuis très longtemps sur une simple et faible possibilité de référendum, même si les sondages d’alors indiquaient que 40% des électeurs étaient souverainistes.

Les résultats : Libéraux : 41%, PQ : 25%, CAQ  23%, QS : 7% ; donc, si on continue la même politique, à la prochaine campagne, le PQ touchera le fond du baril et s’en ira vers l’abattoir.

Pour une élection, on abandonne l'idée du référendum qui revient pour l'élection suivante. Nous travaillerons le terrain pour obtenir une situation gagnante à la deuxième élection.

Il en va de la survie du parti. Nous n’avons pas le droit à l'erreur. Martine Ouellet a un très bon plan. Merci à Martine. Mais si on veut survivre, il faut laisser tomber la souveraineté seulement pour la prochaine élection.

Notre priorité est de battre Couillard pour mettre un terme à la corruption et la destruction du Québec. Pour cette élection seulement, nous ne parlerons pas de souveraineté mais de bonne gestion dans le seul et unique but de vaincre Couillard et d'envoyer par le fait même la CAQ dans les câbles.

141103 as3bb tlmep lisee2 sn635Nous jouons en ce moment lequel des deux grands partis d'opposition disparaîtra. Si on regarde bien, ce n’est pas à cette élection-ci mais à la seconde que nous serons en position de force. Le choix doit donc être Jean-François Lisée avec l’équipe que nous avons, une équipe qui promet, une équipe du tonnerre. 

Ce n'est pas la peur qui me guide. Si on veut la souveraineté ça prend un plan de match. Je parle de stratégie, de réalité. Je suis réaliste. Je suis souverainiste. Ça ne sert à rien d'aller trop vite et de se pétter la gueule.

Dans notre cas, le passé récent nous indique un écœurement d'une grande partie de la population par rapport à la souveraineté et au référendum. Ça fait plus de 50 ans qu'on en parle. D'autant plus, que l'ensemble des médias y est amplement défavorable.

Certains diront que l'option du bon gouvernement a déjà été jouée. Je vous répondrai : c’est vrai, mais l’option du référendum aussi et à la dernière élection ce fut catastrophique. Le pire c'est qu'il y avait très peu de chances qu'elle soit appliquée.

Les conditions n'ont pas changé. Si nous parlons trop tôt de référendum, nous risquons de disparaître et Couillard continuera son œuvre de destruction et la CAQ sera dorénavant le parti d'opposition.

 

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